Les fées forestières
Les dames blanchesAu bois des égarésLuciolent une diaphane clarté d’oubliQue les enfants boivent en curieuse découverteQue les pères connaissent d’une mémoire fatiguéeCes dames blanches sont là encore bien jeunesCouvertes d’une toison de soumissionÀ les laisser sans bras, sans mains, sans volontéUn jour elles partiront du boisQuand le temps sera venuDe trancher l’étouffante chevelureEt de se …